Le document discute des différentes catégories de hackers, notamment les crashers, crackers, lamers et phreakers, tout en soulignant que le hacking est souvent mal compris par les médias. Il met en avant l'importance du partage et de la solidarité au sein de la communauté hacker, et de la nécessité d'une bonne connaissance technique pour devenir un hacker. Enfin, il avertit contre une mauvaise image souvent véhiculée sur les hackers, précisant que ceux-ci ne sont pas toujours dangereux et peuvent contribuer positivement à la sécurité informatique.