L'étude analyse la prévalence et les facteurs de risque d'anomalies du frottis du col de l'utérus chez les femmes atteintes de maladies inflammatoires chroniques de l'intestin, avec une prévalence d'anomalies de 14%. Les résultats montrent qu'il n'y a pas de différences significatives liées aux facteurs de risque reconnus, comme le type de maladie ou d'immunosuppresseur. L'importance d'un suivi gynécologique régulier est soulignée pour cette population à risque.